Résidence Secondaire en LMNP

investir dans une résidence secondaire lmnp

Comment joindre l’utile à l’agréable? Investir dans une Résidence Secondaire n’est pas chose aisée pour tous. L’achat est affectif, son utilisation est sporadique et temporaire, mais sa charge financière est lourde et récurrente. Pourquoi ne pas utiliser les lois en place afin d’optimiser cet investissement « coup de coeur »?

En effet, en couplant les avantages du statut LMNP avec l’utilisation partielle de sa résidence secondaire, on ne fera que réduire le coût de cet investissement tout en améliorant ses conditions d’occupation !

LMNP – Fonctionnement de ce type d’investissement

En résumé, vous investissez dans une Résidence de Tourisme classée (mer, montagne…) dans un environnement privilégié car il s’agit en outre d’un investissement à fort caractère patrimonial, et vous laissez la gestion de ce bien à un gestionnaire de renom.

Vous définissez avec lui une durée d’occupation de votre bien (modifiable au fil du temps en fonction de votre situation) avec un maximum de 182 jours par an pour respecter la réglementation en vigueur.

Il vous rémunère par le versement d’un loyer minimum garanti (qui peut être plus important en fonction de la durée d’occupation pré-définie).
Vous avez la possibilité, en fonction des gestionnaires, d’accéder à sa bourse d’échange et ainsi prendre vos semaines d’occupation dans une autre résidence si cela vous fait envie, ou alors bénéficier de tarifs avantageux sur tout ou partie de son catalogue.

Vous profitez de la fiscalité très avantageuse du statut de LMNP (cf « Le statut LMNP« ) avec un amortissement du bien qui vous permettra de ne pas être fiscalisé sur les recettes pendant une période de 15 à 20 ans (en fonction du financement), de la récupération de TVA à l’achat, tout en gardant une utilisation choisie de votre bien avec tous les services que le gestionnaire peut offrir (spa, fitness, piscine…) !

Optimisez votre investissement en choisissant la meilleure assurance de prêt immobilier

Un achat immobilier d’investissement dans une résidence secondaire a pour but principal de vous apporter une source de revenus fiable. C’est pourquoi il est primordial d’optimiser cet achat au maximum. Pour cela, vous devez, bien sûr, trouver un crédit au taux avantageux, mais pas seulement. L’assurance de crédit immobilier est un poste à ne pas négliger.

L’assurance de prêt immobilier, un poste de dépense parfois important

Si l’assurance de crédit immobilier, ou assurance de prêt, n’est pas obligatoire, elle est fortement recommandée pour l’achat d’une résidence principale ou d’une résidence secondaire. En effet, elle permet une prise en charge de celui-ci lors d’un accident de la vie, qu’il s’agisse du décès d’un des co-emprunteurs, d’une invalidité et, selon certains contrats, du chômage.

Cette protection est donc particulièrement intéressante pour l’emprunteur, mais également pour l’organisme prêteur. C’est la raison pour laquelle, sans ce précieux sésame, peu de banques acceptent d’accorder un prêt.

Toutefois, il est vrai que le montant de cette assurance peut peser lourd dans votre budget. Lors de l’octroi d’un prêt, les organismes prêteurs vous proposent systématiquement une assurance de crédit. Vous n’êtes pas tenu de l’accepter, car il est tout à fait possible de la contracter chez un autre prestataire en assurance à des conditions plus avantageuses.

Avant de prendre votre décision, prenez le temps de vous renseigner pour un avis plus complet sur les assurances de prêt avec lesfurets.com, un site spécialisé dans ce domaine. Vous trouverez sur leur page dédiée à ce type de contrat, de nombreux conseils objectifs qui vous permettront de prendre toutes les données en compte.

Vous pourrez aussi procéder à un comparatif des offres d’assurances de prêts en présence sur le marché grâce à leur outil digital gratuit. Remplissez simplement le formulaire en ligne et validez votre demande. La liste des offres les plus avantageuses vous est alors délivrée en quelques instants. Cette démarche peut vous faire économiser plusieurs d’euros.